“ÓSMOSIS” by Ariesnomu / Mu Saga 4 ever (traduction 06 novembre 2008) Chapitre 10 : Le signe de feu (Avertissements : NC-17) (suite) Puis ils se séparèrent et Mû redescendit tout le long du corps de Saga, effleurant le sien tout contre sa figure sculpturale, glissant doucement sur la peau suave du large torse tel un serpent, ondulant sensuellement entre les puissants pectoraux et les spectaculaires abdominaux tout en déposant en chemin des petits baisers mouillés, arrachant des soupirs continus de plaisir de la part du gémeau, jusqu'à arriver enfin à son objectif, plaçant ses mains sur les hanches de son cher et tendre et les caressant doucement. Il releva un regard rieur et espiègle vers Saga qui le regardait, attendant avec curiosité et avidité, appuyé sur ses coudes et retenant sa respiration par anticipation. Avec une lenteur toute calculée et sans détacher ses yeux des deux profondes émeraudes qui le fixaient avec une impatience évidente, Mû entrouvrit la bouche et l'approcha de la base de l'obélisque dressé devant lui pour y déposer un tendre baiser, puis il la saisit immédiatement ensuite entre ses lèvres en fermant les yeux, commençant à suçoter avec sensualité, s'émerveillant de la texture et des vibrations intenses qui résonnèrent de suite dans sa bouche, et écoutant attendri les profonds soupirs qui accompagnèrent immédiatement ses gestes. Il libéra ensuite de ses lèvres la base de l'obélisque, seulement pour la caresser de sa langue en inclinant et tournant la tête pour faire le tour de toute sa circonférence, puis il rouvrit les yeux et fixant comme hypnotisé la petite veine pulsante qui vibrait intensément devant eux, il en suivit assidûment le chemin de bas en haut, lapant et embrassant tendrement chemin faisant jusqu'à arriver à son sommet humide, entendant tout du long un long gémissement plaintif qui cependant semblait exprimer davantage une sensation d'extrême plaisir plutôt qu'une complainte. Il s'éloigna quelques petites secondes de quelques centimètres pour admirer à nouveau cet obélisque fièrement érigé puis sans plus, entrouvrant la bouche, il en enveloppa affectueusement la pointe toute ruisselante qui semblait l'appeler à grands cris, provoquant ainsi un violent hoquet de plaisir. Il commença à suçoter et à têtouiller, aspirant et mâchouillant avec application, se délectant de la saveur particulière et de l'étrange sensation de tenir l'extrémité de cet obélisque dans sa bouche. Saga haletait et soupirait profondément de façon entrecoupée et il s'accrochait presque désespérément aux draps, puis il cria lorsque Mû trouva son point sensible là juste sous son gland et se mit à le laper avec ferveur de façon répétée, se réjouissant de la réceptivité de son gémeau. C'est qu'il avait la ferme intention de le rendre fou de plaisir. Tout comme Saga avait fait avec lui la veille. Mais différemment... Mû inclina la tête sur le côté et laissa tomber sa longue chevelure de soie devant lui, sur tout le torse nu de Saga, de façon qu'avec chacun des mouvements qu'il accomplirait pour honorer la virilité de son cher et tendre, ses cheveux caresseraient toute la surface de son ventre jusqu'à ses pectoraux avec une intense suavité, ajoutant une divine sensualité aux délices qu'il lui offrait déjà avec volupté de ses lèvres ardentes. Et sur ce, il plongea pour déguster cet obélisque exquis en le prenant tout entier jusqu'au fond de sa gorge, l'enserrant de ses lèvres brûlantes et de sa langue souple ou tout contre son palais ardent, puis se retirant promptement après tout en effleurant légèrement ses dents contre la chair dure et incandescente, allégeant dans son mouvement ascendant le poids de sa chevelure qui s'étalait partout sur les abdominaux de Saga. La réaction ne se fit pas attendre, sous la forme d'un long cri intense et puissant qui paraissait venir du plus profond de la gorge du gémeau, suivi de profonds gémissements des plus précipités. Et ce n'était que le commencement... Mû répéta ses mouvements à plusieurs reprises, mais plus lentement, de plus en plus lentement, tournant son visage d'un côté puis de l'autre et faisant glisser ses longs cheveux soyeux sur la peau toute excitée du gémeau partout ce faisant, savourant les sensations que lui-même recevait en dégustant et en caressant la virilité tendue et enflée de son cher et tendre, tandis que les hanches de Saga se soulevaient et se cambraient désespérément pour prolonger les contacts de sa bouche divine à la chaleur si accueillante, provoquant dans leurs mouvements que les longues mèches soyeuses glissèrent davantage encore partout sur son ventre en caresses affolantes, arrachant de nouveaux cris de pur plaisir à Saga. Par tous les dieux ! C'est que Mû se révélait incroyablement doué et terriblement efficace dans l'art d'éveiller les sens, de les exalter et de les exciter de manière exponentielle. Saga ne pouvait plus voir le visage de Mû, sinon, à sa place, un rideau de soie mauve parsemé de reflets bleutés venant de la lueur des bougies, mais il ressentait avec une intense acuité toutes les actions de sa bouche ardente et chacun des mouvements de sa longue chevelure qui caressait si délicieusement tout son torse nu, intensifiant son excitation et décuplant toutes ses sensations. Mû continua ainsi un long moment, éprouvant les capacités de self-control du gémeau, qui de fait gémissait et haletait de façon de plus en plus incontrôlée, émettant de temps à autres de véritables rugissements, et subitement, Mû relâcha sa proie pour accorder toute son attention à deux bourses tendues qui semblaient réclamer un minimum d'affection, tandis ques ses mains glissaient doucement le long des cuisses fuselées. S'assurant que sa longue chevelure effleurerait légèrement la base de l'obélisque palpitant dans le processus, il couvrit les deux bourses de tendres petits baisers, les caressant intensément à pleines lèvres et à pleine langue, et à entendre un cri quasi désespéré, il en enveloppa une dans sa bouche pour la suçoter délicatement avec sensualité, tout doucement, provoquant des gémissements continus d'intense plaisir, avant de récompenser sa jumelle des mêmes marques d'affection. A travers les fils fins de son rideau de soie mauve, Mû releva les yeux vers le visage de Saga, qui avait rejeté la tête en arrière et semblait ne plus savoir où il était, totalement abandonné au plaisir suprême qu'il lui offrait, tournant sa tête de tous les côtés, le cou tendu, la bouche entrouverte et les yeux fermés avec intensité. Satisfait, Mû sourit et tout en contenant sa propre excitation, il revint honorer le sommet palpitant de l'obélisque qu'il couvrit de baisers brûlants, de lapées humides et de doux mordillements, tandis que d'une main, il saisit la virilité dressée et gonflée pour la caresser de bas en haut, s'attardant sur le point si sensible là juste sous le gland, y pressant son pouce avec application, encore et continuellement. En restant là. Sans rien faire de plus. Hormis quelques petits bisous et quelques caresses le long de l'obélisque désormais extrêmement tendu et encore plus palpitant. Jusqu'à ce qu'il entendit : – Hhhhhh.......Hhhhh........Mû........Mûûûûû...........S'il.......te plaît.. – Saga supplia en serrant les dents. Mû lui répondit par télépathie : – Patience, mon amour........... Rappelles-toi, ceci est ta punition... – une autre lapée incandescente. – Mû.......Attends......que je....... me vengeeeeeeeeee.......aaahhh.... – haleta Saga De nouveaux mordillements sur la cime de l'obélisque pendant que des doigts fins en serraient le corps fuselé. – Serait-ce une menace ? – Nnnooon...........C'est.............une..........promesss........seeeee.......aaaaaaahh..... – Alors, j'espère que tu tiendras ta promesse... – répondit Mû avec un sourire coquin et finalement, prenant pitié de son cher et tendre, il revint à son labeur avec application. – Tu ne............... perds............rien.......pour attendre.....! Saga ne put rien ajouter d'autre. Appuyé sur ses coudes, Mû avait à nouveau accueilli l'obélisque dans l'enivrante chaleur de sa bouche pendant que ses mains s'étaient glissées sous ses cuisses fermes et remontaient maintenant pour caresser les fesses fermes avec volupté en amples mouvements, alors que ses longs cheveux soyeux continuaient d'incendier le ventre de Saga en caresses extatiques à le rendre fou. Bouillonnant de l'intérieur comme le coeur d'un volcan, stimulé à la fois par-dessous et par-dessus par ces doigts satinés et ces paumes massantes, par cette longue chevelure soyeuse et par cette bouche de feu, Saga s'approchait de plus en plus de l'extase. Mû accéléra les caresses de ses mains sur les fesses fermes et de sa langue sur l'obélisque palpitant, intensifiant les mouvements de ses lèvres qui l'entouraient et avala autour de sa proie plusieurs fois, jusqu'à ce que finalement, Saga ne put se contenir davantage, et dans un puissant rugissement suivi d'un gémissement rauque et profond qui venait de sa poitrine, il se libéra intensément et longuement dans la bouche de son jeune amant, son corps tout entier tremblant violemment sans s'arrêter. Mû reçut son nectar, le goûtant pour la toute première fois et il lui parut précieux comme l'ambroisie que seuls les dieux partagent entre eux. Saga perdit pratiquement connaissance sous l'intensité de l'extase qui le submergea, une intensité prolongée par des caresses sensuelles et rehaussées par le fait que c'était Mû qui était celui qui lui avait procuré ces incroyables sensations. Il flottait sur un doux nuage de volupté sans fin, ressentant encore les ultimes vagues de l'intense plaisir puissant qui l'avaient assailli comme un raz-de-marée. Quand enfin il émergea de cette brume exquise, il rencontra une paire d'améthystes scintillantes qui le regardaient avec amusement. Mû était étendu à ses côtés, ses deux bras croisés sur la poitrine de Saga et le menton appuyé sur ses mains, un sourire de satisfaction dessiné sur les lèvres. – Ca t'a plus ? – lui demanda-t-il avec un regard innocent. – ... Une respiration agitée fut la seule réponse qu'il obtint. Mû émit un petit rire clair. – Et bien... Le puissant chevalier des Gémeaux ne trouve plus ses mots ? Recouvrant son souffle avec difficulté : – Il semble qu'un...certain chevalier d'or du bélier... les lui aient volés... avec juste quelques baisers et quelques caresses... – Vraiment ? Et moi qui croyais que les Gémeaux étaient les plus puissants parmi tous les chevaliers... – Tu veux que je te montre le véritable pouvoir du chevalier des gémeaux ? – avec un faux air de menace. Nouveau petit rire clair de Mû. – Rien ne me plairait davantage, mon amour, mais pas maintenant car si je me rappelle bien... C'est à moi de te démontrer le pouvoir du signe de feu... Non ? – ajouta-t-il sensuellement. – Oui, mais ne crois pas que tu l'emportera au paradis ! Mû s'approcha du visage de Saga et lui susurra avec un regard rempli de tendresse : – Je crois que nous irons...ensemble... au paradis... Puis il l'embrassa profondément, l'étreignit et commença à le préparer par télékinésie, usant de son pouvoir et de sa douce cosmo-énergie pour le dilater et le détendre, tandis qu'il le caressait tendrement et frottait son propre corps tout contre le sien avec lascivité, faisant se rencontrer son entrejambe endurcie tout contre celle du gémeau pour raviver le feu et l'excitation de celui-ci. A son tour, Saga l'entoura de ses bras, emmêlant ses mains dans ses cheveux soyeux et gémissant de plaisir dans sa bouche en sentant l'étrange préparation dans son intimité, qui s'avérait très douce et sans aucune incommodité, s'émerveillant à nouveau devant cette utilisation inattendue des pouvoirs mentaux de Mû et de sa délicatesse. Et bientôt, Saga se sépara de Mû pour acquiescer de la tête, le regardant dans les yeux avec intensité, et Mû commença à s'insinuer dans l'invitante entrée qui semblait palpiter pour sa venue. La sensation était incroyable, jamais il n'aurait imaginé qu'être ainsi enveloppé dans un corps chaud pouvait être aussi exquis, aussi enivrant, aussi extatique. Jusqu'à la folie. Il dut retenir l'urgence qu'il sentait monter de s'engouffrer davantage sans s'arrêter. Au lieu de cela, il avança tout doucement, lentement, faisant des pauses régulières pour permettre à Saga de s'accoutumer à son intrusion, entre de légers gémissements, enfouissant son visage dans son cou. Quand enfin il fut totalement plongé en lui, Mû s'arrêta et releva la tête, cherchant le regard de Saga avec des yeux émerveillés, chargés d'une ivresse mêlée d'un plaisir intense qu'il voulait partager avec lui. A ce moment précis, le contemplant droit dans les yeux avec une expression de tendresse infinie, Saga laissa tomber ses barrières mentales, exposant son âme et ses pensées les plus intimes à Mû pour la seconde fois, qui comprit alors que jamais auparavant Saga n'avait laissé personne l'aimer ainsi. Mû en perdit presque sa concentration, sous l'émotion de cette tacite confession, et à son tour, il abaissa ses barrières mentales une à une. Il n'eurent pas besoin de parler. Les mots d'amour affluèrent dans leurs esprits en un tourbillon infini et se mêlèrent en un écho suave qui résonna sans fin. Saga le fixait avec une tendresse infinie, un amour immense et intense gravé sur son magnifique visage qui jamais n'avait paru aussi beau. Serein, les traits détendus, ivre de bonheur et totalement abandonné au plaisir et à l'amour qu'il ressentait pour ce bel ange mauve. Un ange pur à qui il désirait appartenir de tout son coeur, de toute son âme, de tout son être. Profondément ému, Mû prit son visage entre ses mains et se pencha vers lui, approchant ses lèvres entrouvertes de celles de Saga. Elles se rencontrèrent avec une suavité et une délicatesse sans pareille, dans un contact doux et moelleux, comme la rosée du matin se dépose sur les fragiles pétales des fleurs, et ils savourèrent leurs lèvres en les suçotant mutuellement avec une extrême douceur, sans hâte et tournant leurs têtes d'un côté et de l'autre pour mieux se déguster. Ils restèrent ainsi jusqu'à ce que Saga ondule légèrement des hanches, indiquant qu'il était prêt. Ils continuèrent à s'embrasser en approfondissant l'échange, avec leurs langues qui entrèrent à nouveau en action, tout en se caressant mutuellement les cheveux ou le cou à pleines mains, tandis que Mû commença à se mouvoir en mouvements lents et amples, guidé par ses instincts, découvrant l'indescriptible plaisir d'être stimulé à l'intérieur corps de l'être aimé, brûlant dans sa chaleur invitante, dans son étroitesse exaltante, dans son feu intense, et cherchant le moyen de le lui rendre, faisant monter le plaisir lentement mais sûrement pour tous les deux. Après quelques instants, Saga releva complètement ses longues jambes et les plaça sur les épaules de Mû, s'ouvrant totalement à lui, s'offrant tout entier et approfondissant davantage encore l'intromission, faisant que sa prostate soit stimulée par chaque coup de rein et que ses muscles se serrèrent encore plus autour de son visiteur, intensifiant ainsi le plaisir suprême qu'ils partageaient et provoquant des gémissements puissants de la part de tous les deux. Leurs bouches se séparèrent et deux regards de feu s'ancrèrent, chargés d'un désir déchaîné scintillant dans leurs flammes dansantes, reflétant leur amour mutuel et toute leur confiance et leur abandon total, et les mouvements se firent plus puissants, plus rapides, plus profonds et plus intenses, la sueur perlant sur leurs deux corps en reflets bleutés sous la lueur vacillante des bougies qui jouaient sur leurs muscles saillants et sur leur peau satinée, tandis qu'ils émettaient tous les deux des gémissements rauques de plus en plus forts, appelant l'extase qui arriverait comme la libération qui les emporterait ensemble au septième ciel, enlacés par le cou ou par les épaules, unis ensemble, fondus l'un dans l'autre, chacun appartenant à l'autre. Leurs bouches se retrouvèrent à nouveau et se dévorèrent avec faim et impétuosité sous tous les angles possibles, tandis qu'ils continuaient leur danse sensuelle et passionnée, fougueuse et ardente, tout en se caressant et en s'étreignant avec force, jusqu'à ce que leurs deux silhouettes se tendissent en même temps en se cambrant, suspendues dans les airs, culminant dans cette nouvelle fusion totale de leurs corps et de leurs âmes, dans cet éblouissement sans égal, et ils retombèrent tous les deux en soubresauts effrénés tandis qu'ils criaient leur amour sans s'arrêter, submergés par une gloire intense et prolongée, unis dans l'extase et rendus à la plus grandiose des plénitudes possibles avant de se calmer enfin, haletants et baignés de sueur, exténués mais remplis de ce bien-être indescriptible et si puissant qui avive et sublime tous leurs sens au plus haut point et les laisse dans cet état de félicité sans égale. Ils restèrent enlacés pendant quelques instants, recouvrant tranquillement leur souffle et leurs forces, puis ils démêlèrent leurs bras et leurs jambes. Mû se laissa glisser sur la poitrine de Saga en enfouissant son visage dans son cou et en recouvrant son coeur d'une main, épuisé mais savourant les dernières vagues de plaisir qu'il sentait encore parcourir son corps tout entier, tout en écoutant le coeur de Saga battre avec force contre sa poitrine et entendant leurs respirations revenir lentement à la normale. Enfin, il releva la tête pour regarder Saga dans les yeux, une expression d'extrême reconnaissance gravée sur son propre visage, immensément ému par le merveilleux cadeau que le gémeau venait de lui offrir. Il ne trouvait pas les mots pour exprimer ce qu'il ressentait, il ne pouvait qu'envoyer des vagues et des vagues d'amour vers l'esprit de l'homme de sa vie. – Je t'aime, Mû – Saga murmura tout en l'étreignant avec force – Je t'aime tant, tellement, mon amour... – Moi aussi, je t'aime, Saga... Tellement, tellement... – répondit Mû dans un soupir. Ils s'étreignirent de plus en plus de fort tout en se câlinant mutuellement affectueusement, puis ils s'embrassèrent à nouveau, tendrement, lentement, puis bientôt avec plus d'intensité et plus fougueusement, jusqu'à ce que Saga les fît tourner tous les deux, mettant Mû sous lui, sous son corps, entre ses bras, et avec un sourire carnassier, il lui annonça sur un ton faussement menaçant : – Et maintenant, à mon tour de te rendre fou... – avant d'ajouter d'une voix rauque – Je vais te faire hurler de plaisir... Toute la nuit... – Je n'en attends pas moins... – fut la réponse de Mû, les yeux brillants et chargés d'un désir intense et ardent, un sourire séducteur sur ses lèvres charnues, qui déjà se tendaient vers celles de son gémeau. Ainsi, la nuit se prolongea. Longuement. Pendant laquelle Saga tint sa promesse et eut sa revanche, entre éclats de rires cristallins et de puissants hurlements de plaisir. Une longue nuit de passion intense, remplie de tendresse et d'amour entre baisers ardents, caresses brûlantes, dons de soi sans retenue des corps et de leurs âmes, dans une osmose parfaite et totale, où l'extase et la plénitude atteignirent de nouvelles cimes. *** Suite avec le dernier chapitre ''Nouveaux sommets (trois mois plus tard)'', une petite escapade des tourtereaux dans les montagnes de l'Himalaya. (NC-17) dès que j'aurai fini de la traduire ! ;D Si vous souhaitez laisser un commentaire, c'est ici :
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